Grand Prix d’Italie
Esteban est parti 15e en pneumatiques durs neufs et s’est classé 14e.
Arrêt : 32e tour pour des médiums neufs.
Meilleur tour en course : 1’24’’343.


Pierre est parti 14e en pneumatiques médiums neufs et s’est classé 15e
Arrêts : 10e et 32e tours pour des durs neufs.
Meilleur tour en course : 1’23’’755.

 

 

Esteban Ocon : « Nous avons tout essayé ce week-end pour couvrir tous les scénarios possibles. Cela n’a malheureusement pas suffi pour marquer des points. Ce n’était pas une course facile pour tout le monde et nous devons analyser et comprendre quelle stratégie aurait pu être la meilleure. Nous avons divisé la stratégie et j’ai opté pour un seul arrêt, donc je suis resté assez longtemps en piste pour mon premier relais et plusieurs autres équipes ont fait de même. J’ai eu des difficultés avec les pneus vers la fin du premier relais, donc une stratégie médiums-durs aurait peut-être mieux fonctionné avec le recul. Du côté positif, nous avons enregistré une belle amélioration de performances entre vendredi et samedi, que nous devons maintenant mieux comprendre afin d’éviter nos problèmes rencontrés à Zandvoort. Nous reviendrons dans deux semaines à Bakou, où nous devrons nous assurer de pouvoir revenir dans les points. »

 

 

Pierre Gasly : « L’après-midi a été long et je suis très déçu, car je pensais que nous aurions plus de potentiel en course qu’en qualifications. Nous avons découvert un problème de freins hier après les qualifications et cela s’est poursuivi cet après-midi. La voiture rebondissait beaucoup et nous manquions d’adhérence. Nous allons maintenant nous réunir afin d’analyser les raisons pour lesquelles nous n’avons pas pu être compétitifs ce week-end par rapport à Zandvoort. Nous allons les comprendre et passer le week-end en revue avec l’objectif de revenir plus forts à Bakou. »

 

 

Oliver Oakes, team principal : « Nous savions avant le week-end qu’il nous serait difficile de répéter les performances des courses précédentes - nous battre pour les points - en particulier sur un circuit à la configuration aussi particulière. Nous avons divisé nos stratégies avec des composés différents au départ afin de nous offrir une certaine flexibilité sur le plan stratégique. Esteban a bien réussi à faire fonctionner la stratégie à un seul arrêt en prolongeant son premier relais, et nous avons essayé deux arrêts avec Pierre. Les deux voitures finissant à six secondes l’une de l’autre, nous n’aurions pas pu faire grand-chose de plus aujourd’hui. Nous n’avions finalement pas le rythme nécessaire pour jouer les points et nous avons déjà hâte d’être à Bakou ! »