Si Victor Martins a commencé sa carrière un peu plus tard que la plupart des autres pilotes en se lançant en karting à l’âge de douze ans, le Français a rapidement affiché un talent prometteur jusqu’à remporter le Championnat FIA de Formule 3 en 2022. Animé par l’envie de se consacrer à 100 % dans tout ce qu’il fait, Victor l’a démontré lors de son premier test de F1 le mois dernier avec l’A521 victorieuse en Grand Prix en montrant son niveau de concentration et de dévouement dès qu’il a la possibilité d’atteindre ses objectifs. En dehors de la piste, Victor suit également d’autres sports avec ferveur et s’est récemment rendu à Roland-Garros et aux 24 Heures du Mans… Sans oublier un petit penchant pour la cuisine et son faible pour les pâtes aux truffes.

 

 

Nous avons rencontré Victor après son week-end réussi en Espagne pour en découvrir plus sur le jeune membre de l’Alpine Academy. Voici six choses que vous ignoriez peut-être sur le numéro six...

 

 

- Combien de langues parlez-vous ?


Je ne parle que deux langues pour l’instant : le français, bien évidemment, et l’anglais. J’essaie toutefois d’apprendre l’espagnol et l’italien. Je suis tout particulièrement intéressé par l’italien, car c’est une langue importante en sport automobile.

 

 

- Y a-t-il des causes qui vous tiennent à cœur ?


Je pense qu’il est très important de défendre les personnes handicapées. J’ai des personnes touchées par un handicap dans ma famille, donc cette cause me tient vraiment à cœur.

 

 

- Que pensez-vous que les fans seraient surpris d’apprendre à votre sujet ?


Peu de monde le sait, mais j’étais gymnaste de compétition avant ma carrière en sport automobile. J’ai commencé la gymnastique à cinq ans et j’ai été Champion de France dans ma catégorie d’âge. C’était ma discipline avant de me lancer dans la course. Je me suis totalement investi dans la gymnastique jusqu’à dix ans environ, puis je me suis essayé au sport automobile à mes douze ans.

 

 

- Aviez-vous des surnoms en grandissant ?


La plupart des gens m’appellent tout simplement Vic maintenant, mais j’étais surnommé « petit biscuit » pendant quelques années quand je faisais de la gymnastique. Je ne me souviens plus de l’origine de ce surnom, mais ça sonnait mieux en français qu’en anglais !

 

 

- Si vous pouviez passer une journée avec n’importe qui dans le monde, qui et où serait-ce ?


J’irais aux États-Unis avec mon frère et je passerais la journée à faire du dirt bike avec mon ami, Dylan Ferrandis. C’est un pilote français de motocross qui court aux États-Unis. Plus jeune, je rêvais de devenir pilote de motocross. C’était la première forme de sport mécanique qui m’a attiré pendant que je disputais des compétitions de gymnastique. Maintenant que je suis dans ce monde, je veux vraiment essayer le motocross à un moment donné.

 

 

- Collectionnez-vous quelque chose ?


Je garde tout ! Si j’ai quelque chose, je ne peux pas m’en débarrasser, c’est comme ça ! J’ai l’impression que chaque chose est une pièce importante de mon aventure, donc je veux tout conserver et c’est un sentiment spécial de pouvoir le faire et d’être en mesure d’admirer ses souvenirs.

 


Suivez Victor et sa voiture n°6 lors du huitième rendez-vous du Championnat FIA de Formule 2 le week-end prochain au Red Bull Ring !